Doit-on renoncer aux cartes de contrôle lorsqu’on se retrouve face à des situations “non standard” qui ne vérifient pas les hypothèses d’utilisation de la MSP ? Côté norme AFNOR, pas de répDaniel Lafaye de Micheaux propose ici une clarification de la définition des limites à utiliser pour le contrôle de processus. Débordant du cadre de la MSP monovariée classique, cette définition introduit la notion d’indicateurs multivariés spécifiques d’anomalie et celle d’Alarm Index, pComment aller plus loin dans la Maîtrise Statistique des Processus ? La MSP présente en effet ses limites, dans un contexte industriel où les exigences de qualité et de productivité vont croissantes, où les procédés industriels se complexifient, où le nombre de mesures à traiter et surveiller est toujours plus important. La technologie GPC, “Global Process Control”, constitue un prolongement de la MSP. Elle propose une approche radicalement innovante des processus, une approche “globale”.
Doit-on renoncer aux cartes de contrôle lorsqu’on se retrouve face à des situations “non standard” qui ne vérifient pas les hypothèses d’utilisation de la MSP ? Côté norme AFNOR, pas de réponse. Daniel Lafaye de Micheaux propose ici une clarification de la définition des limites à utiliser pour le contrôle de processus. Débordant du cadre de la MSP monovariée classique, cette définition introduit la notion d’indicateurs multivariés spécifiques d’anomalie et celle d’Alarm Index, propres à la technologie GPC. Son application permet l’élaboration de graphes pertinents pour identifier, rapidement, les dysfonctionnements les plus critiques.
Qualité références : La MSP les situations non standard
Doit-on renoncer aux cartes de contrôle lorsqu’on se retrouve face à des situations “non standard” qui ne vérifient pas les hypothèses d’utilisation de la MSP ? Côté norme AFNOR, pas de réponse proposée. Daniel Lafaye de Micheaux, directeur R&D de GPC System, et Alain Palsky, ancien responsable MSP du groupe Rhône-Poulenc, présentent ici comment adapter l’emploi des cartes de contrôle à ces situations “non standard”.
Quatre articles sont disponibles ici :
Dans cette présentation, M. Daniel LAFAYE DE MICHEAUX présente une problématique rencontrée. La MSP traditionnelle est basée sur la surveillance individuelle de paramètres à contrôler ; cette approche dite “monodimensionnelle” a pour inconvénient de ne pas tenir compte des liens entre les paramètres et tend donc trop souvent à affirmer implicitement “je ne vois rien = il ne se passe rien”.
Daniel Lafaye de Micheaux et Didier Vieux s’appuient sur l’expérience industrielle de GPC System pour montrer combien la vision multivariée améliore la profitabilité des lignes de production. Si les phénomènes graves affectant celles-ci (arrêts longs, rebuts, retours clients…) sont souvent invisibles sur les cartes de contrôle monovariées, ils sont au contraire nets et clairement identifiables en vision multivariée.
Cet article présente l’utilisation de la technologie du « Global Process Control » pour réduire la variabilité en production industrielle. Ce texte s’applique à donner les bases de la méthodologie GPC utilisées dans cet objectif. Il décrit les étapes de mise en œuvre sur un exemple industriel d’assemblage de carrosserie automobile.
Dans cette présentation, M. Daniel LAFAYE DE MICHEAUX présente une problématique rencontrée dans le domaine de la plasturgie relativement aux presses à injection plastique avant d’aborder : l’approche GPC d’analyse de courbes ; la construction d’indicateurs ; la surveillance multivariée GPC d’indicateurs et la surveillance en temps réel.
Dans cette présentation, M. Daniel LAFAYE DE MICHEAUX présente une problématique rencontrée dans l’industrie automobile concernant la surveillance de production avant de mettre en lumière les points fondamentaux de GPC System.
Dans cette présentation, M. Daniel LAFAYE DE MICHEAUX, présente les fondamentaux de la technologie du Global Process Control et des services offerts par GPC System .
